Ces deux pièces en un acte, écrites à 29 ans en 1890, affirment la rupture opérée par Maurice Maeterlinck avec le conformisme théâtral de son époque. Fer de lance du symbolisme belge, il a construit dans un style dépouillé un univers cultivant notamment le mystère et l’invisible. C’est la limpidité de la langue et le brio de la dramaturgie qui ont séduit Tommy Milliot, nouveau directeur du Centre dramatique national de Besançon, metteur en scène et scénographe adepte des écritures…